- EAN13
- 9782749124742
- ISBN
- 978-2-7491-2474-2
- Éditeur
- Le Cherche Midi
- Date de publication
- 10/05/2012
- Collection
- Documents
- Nombre de pages
- 167
- Dimensions
- 22,1 x 14,3 x 1,8 cm
- Poids
- 290 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Inscriptions des catacombes de Paris
Arrête ! C'est ici l'empire de la mort
De Xavier Ramette, Gilles Thomas
Préface de Xavier Niel
Le Cherche Midi
Documents
Autre version disponible
Le guide incontournable des catacombes de Paris.
ARRETE ! C'EST ICI L'EMPIRE DE LA MORT
C'est à une véritable " danse macabre " du mobilier historique des catacombes de Paris que nous convient les deux auteurs de cet ouvrage.
Par exemple, qui aurait imaginé qu'une inscription inventoriée en 1815, visible jusqu'au début des années 1980, serait manquante aujourd'hui ? Ou que des plaques " immortalisées " en photo par Nadar en 1860 seraient portées disparues " corps et âmes " à peine quinze années plus tard ?
Avec Xavier Ramette et Gilles Thomas, parcourez les 220 inscriptions littéraires et techniques de l'ossuaire, tout en fréquentant les poètes qui ont composé ces sentences. Et, comme Antoine-Marin Lemierre, méditez ces vers :
" QUE DE MORTS ENTASSÉS ET PRESSÉS SOUS LA TERRE ! LE NOMBRE ICI N'EST RIEN, LA FOULE EST SOLITAIRE. "
ARRETE ! C'EST ICI L'EMPIRE DE LA MORT
C'est à une véritable " danse macabre " du mobilier historique des catacombes de Paris que nous convient les deux auteurs de cet ouvrage.
Par exemple, qui aurait imaginé qu'une inscription inventoriée en 1815, visible jusqu'au début des années 1980, serait manquante aujourd'hui ? Ou que des plaques " immortalisées " en photo par Nadar en 1860 seraient portées disparues " corps et âmes " à peine quinze années plus tard ?
Avec Xavier Ramette et Gilles Thomas, parcourez les 220 inscriptions littéraires et techniques de l'ossuaire, tout en fréquentant les poètes qui ont composé ces sentences. Et, comme Antoine-Marin Lemierre, méditez ces vers :
" QUE DE MORTS ENTASSÉS ET PRESSÉS SOUS LA TERRE ! LE NOMBRE ICI N'EST RIEN, LA FOULE EST SOLITAIRE. "
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