- EAN13
- 9782908481723
- ISBN
- 978-2-908481-72-3
- Éditeur
- Presses Universitaires du Septentrion
- Date de publication
- 16/06/2011
- Collection
- Roman 20-50
- Nombre de pages
- 184
- Dimensions
- 24 x 16 x 1,1 cm
- Poids
- 301 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 800
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Roman 20-50, n° 51/juin 2011
Georges Perec Les Choses et Un homme qui dort Annie Ernaux, Luc Lang, Jean-Pierre Martinet, Paul Morand
PU Septentrion
Presses Universitaires du Septentrion
Roman 20-50
Offres
Il s'agit ici d'une relecture de deux romans du « premier Perec », parus en
1965 et 1967, que l'auteur concevait comme un diptyque et pour lesquels il
aurait souhaité en 1975 une édition commune, dans une collection de poche. Si
l'on en croit Georges Perec, son premier roman, Les Choses, était consacré aux
« lieux de la fascination mercantile », tandis que le second volet du
diptyque, Un homme qui dort, se vouait par contraste aux « lieux de
l'indifférence ».
À cette époque, l'auteur n'a pas encore adhéré à l’Oulipo (l’Ouvroir de
Littérature potentielle) qui fera, avec sa veine autobiographique, son succès
critique. C’est ainsi un Perec moins étudié auquel le volume se consacre pour
s’intéresser aux ambitions et aux réussites d’une période où l’auteur soumet
son œuvre aux exigences d’un « réalisme critique », emprunté à la sociologie
marxiste de Georg Lukacs.
Le volume est composé de sept contributions. Il a fait appel à des
spécialistes de l’œuvre de Georges Perec et fait place au témoignage de
Paulette Perec, l’épouse de l’auteur à l’époque. Il comporte également une
bibliographie exhaustive des éditions et traductions des Choses jusqu’en 1982
(année de la mort de l’écrivain).
1965 et 1967, que l'auteur concevait comme un diptyque et pour lesquels il
aurait souhaité en 1975 une édition commune, dans une collection de poche. Si
l'on en croit Georges Perec, son premier roman, Les Choses, était consacré aux
« lieux de la fascination mercantile », tandis que le second volet du
diptyque, Un homme qui dort, se vouait par contraste aux « lieux de
l'indifférence ».
À cette époque, l'auteur n'a pas encore adhéré à l’Oulipo (l’Ouvroir de
Littérature potentielle) qui fera, avec sa veine autobiographique, son succès
critique. C’est ainsi un Perec moins étudié auquel le volume se consacre pour
s’intéresser aux ambitions et aux réussites d’une période où l’auteur soumet
son œuvre aux exigences d’un « réalisme critique », emprunté à la sociologie
marxiste de Georg Lukacs.
Le volume est composé de sept contributions. Il a fait appel à des
spécialistes de l’œuvre de Georges Perec et fait place au témoignage de
Paulette Perec, l’épouse de l’auteur à l’époque. Il comporte également une
bibliographie exhaustive des éditions et traductions des Choses jusqu’en 1982
(année de la mort de l’écrivain).
S'identifier pour envoyer des commentaires.