- EAN13
- 9782829003745
- ISBN
- 978-2-8290-0374-5
- Éditeur
- Editions d'en bas
- Date de publication
- 16/11/2009
- Collection
- Ethno-poche
- Nombre de pages
- 384
- Dimensions
- 20,5 x 13,5 x 2,6 cm
- Poids
- 593 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 700
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
« J'ai retrouvé les bergers de Virgile »
Un architecte vaudois en Italie, 1792-1796
Hennezel Béat
Editions d'en bas
Ethno-poche
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Le journal de voyage en Italie de Béat de Hennezel, d'Yverdon, n'était connu jusqu'ici que par quelques extraits publiés en 1914. Formé de trois carnets remplis d'une écriture serrée, il a pourtant été régulièrement exploité par les historiens de l'art qui y puisèrent des informations sur les artistes suisses à Rome, à la fin du 18e siècle. Riche de notations et d'anecdotes sur ce bouillant milieu artistique romain contemporain de la dernière décennie du siècle des Lumières, il restitue le voyage culturel initiatique d'un esprit singulier et attachant.
Béat de Hennezel (1733-1810) accomplit son Grand Tour en Italie dont Rome est l'étape capitale, en amateur d'art certes, qui d'ailleurs n'hésite jamais à critiquer les œuvres pour lesquelles l'admiration, si l'on en croit les guides de son temps et du nôtre, est obligatoire ; mais c'est bien le voyage d'un curieux dont le sens de l'observation fait plus d'une fois notre étonnement. Ce talent lui avait déjà valu d'être bien accueilli dans les salons des notables vaudois où il jouait les amuseurs. Ici, sa verve voltairienne, que ne touche que fort peu le théâtre sacré de la Rome papale, n'est jamais en repos et ne cesse de surprendre.
L'original du journal est conservé aux Archives cantonales vaudoises à Lausanne (Suisse).
Béat de Hennezel (1733-1810) accomplit son Grand Tour en Italie dont Rome est l'étape capitale, en amateur d'art certes, qui d'ailleurs n'hésite jamais à critiquer les œuvres pour lesquelles l'admiration, si l'on en croit les guides de son temps et du nôtre, est obligatoire ; mais c'est bien le voyage d'un curieux dont le sens de l'observation fait plus d'une fois notre étonnement. Ce talent lui avait déjà valu d'être bien accueilli dans les salons des notables vaudois où il jouait les amuseurs. Ici, sa verve voltairienne, que ne touche que fort peu le théâtre sacré de la Rome papale, n'est jamais en repos et ne cesse de surprendre.
L'original du journal est conservé aux Archives cantonales vaudoises à Lausanne (Suisse).
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